|
|
|
LA THÉRAPIE PAR LE SON |
Plan du Site
Accueil
Comment la
thérapie peut vous aider? Problèmes
auditifs Difficultés
d'Apprentissage
Activez votre cerveau
Les Programmes d'écoute
Pour Commander |
Téléchargez le ebook gratuit d'Hélène Delafaurie: Ecoute et Difficultés d'Apprentissage
DÉFICIT D’ATTENTION HYPERACTIVITÉ Ce problème est appelé ADD (Attention Deficit disorder) ou ADHD (Attention Deficit and Hyperactivity Disorder) en anglais, TDA/H ou THADA (Trouble Déficitaire de l'Attention /Hyperactivité) en français. Ils vont le plus souvent ensemble. Qu'est-ce que l'ADHD? C’est en 1900 que pour la première fois un pédiatre anglais a parlé d’un groupe de symptômes liés à un problème spécifique chez l’enfant. Mais ce problème n’a reçu de nom que vers 1970 : « Minimum Brain Damage » = dommage cérébral minime. De quoi faire très peur malgré le « minime » ! Puis on s’est aperçu qu’il ne s’agissait pas du tout d’un dommage cérébral mais d’un mauvais fonctionnement chimique du cerveau. On lui a donc trouvé un nouveau nom au début des années 80 : Attention Deficit Disorder auquel on a rajouté l’hyperactivité qui en était souvent (mais pas toujours, surtout chez les filles) un composant du problème. En français cela donne Trouble de l’Hyper Activité et Déficit d’Attention = THADA. En bref ce problème est du à un mauvais fonctionnement des neurotransmetteurs du cerveau, en particulier à une baisse du niveau de la Dopamine, chargés de réguler le comportement. La meilleure comparaison qui me vient à l’esprit est que le cerveau a des bouffées de chaleur, un problème que beaucoup d’entre vous, mesdames, connaissent ou connaîtront. D’après une étude américaine (National Health and Nutrition Examination Survey) portant sur 3 082 enfants entre 8 et 15 ans, 9% des enfants sont atteints d’ADHD mais seulement 49% d’entre eux ont été diagnostiqués et 32% seulement reçoivent un traitement. Les autres sont considérés comme de sales gosses impossibles et durs à cuire.
Les symptômes Ils dépendent aussi de l’âge de l’enfant. Du point de vue du comportement général, l’enfant est :
Le déficit d’attention en lui-même est caractérisé par :
Un autre symptôme indirect : la maman n’ose pas le laisser à dormir chez les copains de peur qu’il ne fasse une catastrophe, est toujours sur le qui-vive (qu’est-ce qu’il a fait encore !) et est épuisée.
Le diagnostic Il sera fait par le pédiatre ou le pédopsychiatre. Celui-ci commencera par rassembler des renseignements sur le comportement de l’enfant. Il adressera un questionnaire ou une lettre à l’institutrice, puéricultrice – leur demandant de comparer l’activité de l’enfant par rapport aux autres enfants du même âge – et interrogera les parents. Ces symptômes doivent se manifester ET à la maison ET à l’école ou à la garderie ET avec des amis et pendant plus de 6 mois. Ne confondons pas l’hyperactivité = problème médical avec « On a déménagé. Ce nouvel endroit est formidable et je suis super-heureux de vivre ! »
Les causes On cherchera aussi dans son histoire médicale ce qui a pu provoquer ce problème. Cela peut aussi bien provenir d’un changement dans la façon de vivre : un déménagement, un divorce, un décès dans la famille, que d’un autre problème médical non-encore détecté : épilepsie, mauvais fonctionnement de la thyroïde, anxiété, dépression, mauvais sommeil,…
Certaines toxines sont mises en cause : empoisonnement au plomb ou
autre métaux lourds, qui peuvent aussi conduire à l’autisme.
Certains vaccins pourraient en être à l’origine. Une étude a montré que le taux de glucose utilisé par le cerveau pour être attentif est moindre chez les enfants et personnes atteinte du déficit d’attention. Le glucose est la principale source d’énergie du cerveau avec les hautes fréquences. Il y a aussi un facteur héréditaire : si dans un couple l’un des parents est hyperactif, il y a plus de chance que les enfants le soient. Si pendant la grossesse la maman a été très inquiète, stressée, dépressive, l’enfant peut avoir l’ADHD. Récemment des chercheurs ont trouvé une corrélation entre un gène variant (le DRD4) et l’ADHD. La bonne nouvelle est que ceux qui ont ce gène sont souvent aussi très intelligents. Si on arrive à les canaliser, ils seront premiers de la classe ! A l’âge adulte, ils n’ont plus de problèmes.
Depuis des études menées en 1970, ces problèmes sont liés aux
aditifs alimentaires et à la toxicité des produits de soin dont nous
nous servons à la maison (shampooings, gels douche...)
A part le fait que ces enfants sont épuisants et potentiellement dangereux pour eux et les autres, ils ont le plus souvent des difficultés scolaires. Certains ont tendance aussi à s’opposer quoiqu’il arrive à leurs parents ou à tout ordre ou conseil. Ceux-là ne finiront sans doute pas leurs études, passeront de petits boulots en petits boulots, incapables de s’adapter, de supporter un patron, un ordre. D’autres peuvent devenir des anxieux pathologiques et finir en dépression.
Les médicaments Ils vont agir sur des neurotransmetteurs appelés norepinéphrine et dopamine et augmenter sa quantité. Les neurotransmetteurs sont les substances chimiques secrétées par le cerveau pour transmettre les informations. Le problème c’est que l’enfant peut devenir dépendant de ce genre de drogue (Ritaline, etc.). Les autres effets secondaires sont les problèmes d’estomac, diminution de l’appétit, nausées, vertiges, fatigue, mauvaise humeur, sans compter quelques réactions allergiques et maladies de peau, jaunisse due à un empoisonnement du foie, problème rénaux, … certains sont rares certes, mais enfin !!!!
Le médecin pourra aussi prescrire des antidépressifs… même à un enfant ! Il ne faut pas oublier que les antidépresseurs sont dangereux et augmentent le risque de suicide surtout chez les enfants et adolescents. La Federal Drug Association d’Amérique l’a confirmé en octobre 2004. Alors de grâce ne droguez plus vos enfants sauf cas de vie ou de mort. Les antidépresseurs agissent également sur les neurotransmetteurs, la sérotonine, la dopamine et la norépinephrine, le manque des deux dernières étant considéré comme responsable de L’ADHD. N’oublions pas les effets secondaires qui ne sont quand même pas des moindres : problèmes gastriques, constipation, bouche sèche, vision floue, hypotension, prise de poids, transpiration, problèmes urinaires, maux de tête, tremblements et somnolence. Ouf ! Et je ne parle pas des problèmes au moment où on arrête d’en prendre. C’est une drogue et comme toute drogue le sevrage est difficile.
On peut aussi prescrire, mais pour les adultes, un médicament pour faire baisser la pression sanguine. Avec le même genre d’effets secondaires déjà décrits, + une congestion des sinus.
Il y a encore d’autres
médicaments qui sont utilisés si les premiers ne marchent pas, qui
provoquent baisse d’appétit et de poids, maux de tête, désir de
solitude, maux d’estomac.
L'alimentation Le Dr. Natasha Campbell a écrit tout un livre sur le lien entre l'alimentation (additifs), les carences nutritionnelles (alimentation industrielle qui manque de nutriments et de minéraux), le système digestif (flore intestinale et intestin poreux) et le mauvais fonctionnement du système neurologique. Pour faire simple, un mauvais état de l'intestin influe directement sur notre comportement en laissant passer des toxines qui s'attaquent à notre système nerveux. Elle s'est penchée sur la question en raison de son fils autiste. Elle a trouvé des solutions et ce fils autiste est actuellement diplômé d'université. C'est elle qui a créé les probiotiques dont je parle dans la page "nutriments". Pour en savoir plus: "Le syndrome enteropsychologique", Dr. Natasha Campbell; "Nutrition et bien-être mental", Dr. Veronica Van Der Spek.
Les enfants en difficultés scolaires présentent souvent une
déficience en acides gras essentiels (omega 3).
La thérapie par le son et l’ADHD
A peu près toutes les causes de l’ADHD sont soignées par la thérapie !
Vous devez aussi organiser la vie de votre enfant, lui faire un programme, une routine qu’il devra suivre tous les jours (et vous aussi) : le temps pour travailler, pour jouer, pour manger, pour se baigner, et comme toujours, y aller progressivement : ajouter une plage d’activité chaque semaine. Ensuite une place pour chaque chose – à déterminer avec lui – et l’obliger d’une façon douce, peu à peu, à mettre chaque chose à sa place : Tu as mis ton cartable là où il doit être ? –Non, je dois faire… Tu le feras après avoir mis ton cartable…
L’avantage de la thérapie par le son est que si l’enfant veut changer d’activité toutes les 3 minutes, il peut le faire tout en gardant ses écouteurs sur les oreilles. Mettez le lecteur de CD dans un micro sac à dos, pour qu’il ne risque pas de l’endommager et trouvez des activités pendant lesquelles il ne risque pas de se rouler par terre. Au début il faut tenir le coup pendant 30 mn. Peu à peu l’enfant se calmera. Donnez-lui une récompense s’il reste tranquille à lire un livre ou à regarder la télé pendant ce temps-là. Pour une fois le jeu vidéo peut avoir une réelle utilité. Bientôt il écoutera 1 heure allongé sur le canapé, tranquille… après avoir terminé ses devoirs et appris ses leçons
Il est bon que les parents fassent aussi la thérapie. La maman stressée retrouvera son calme, un meilleur sommeil et pourra plus facilement faire face. Le calme appelle le calme : toute la famille s’en trouvera bien et un seul programme suffit.
Pour commander, cliquez ICI
Lire sans Ritalin, Judy et Gerrit Westerhof, Winnipeg “Notre fils John est en 6ème et fait des progrès extraordinaires depuis qu’il écoute la thérapie, il y a 2 mois. Ses professeurs sont très étonnés et ses camarades de classe l’ont aussi remarqué. L’année dernière John faisait partie d’un programme de soutien spécial et cette année il est dans les classes normales. Il prenait de la Ritaline pour son problème d’ADHD mais maintenant il n’en a plus besoin. Il en est très heureux. Il n’aimait pas prendre ces pilules. Ça le rendait malade, surtout l’estomac. Il adore la musique baroque et il l’écoute jusqu’à ce qu’il n’ait plus de piles. C’est un vrai miracle et il continue à s’améliorer tous les jours. »
Calme en classe!
Meilleurs notes Pour commander, cliquez ICI
|
u |
Copyright ©2007 Hélène Delafaurie Tous droits réservés |